Olivier Longre 







« Musique pour les yeux peut-être. Mais pour les autres sens aussi.
Tapisserie dont on se réjouira de déceler un nouveau détail à la douzième écoute.
» 

Télérama












Amore Disamore



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Amore Disamore le nouvel album d’Olivier Longre est librement inspiré du roman Les Villes Invisibles d'Italo Calvino. Tecla, Procope, Trude, Armille, Argie, Isidora... Autant de cités imaginées par Italo Calvino et qui ne peuvent exister qu'en rêve, interrogeant nos villes modernes et nos visions de l'ailleurs. C'est à la lueur de ces villes imprévisibles et énigmatiques que ces huit titres ont été composés. Olivier Longre joue son nouvel opus au piano, en duo avec le contrebassiste Vincent Girard. Aux compositions minimalistes et mélodiques, colorées par endroit d’un harmonica ou d’une clarinette, s’ajoutent de discrètes touches bruitistes et électroniques. 
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  P R E S S E



« On est aussi près de Nino Rota, sinon plus, que de Tortoise. Ce qui n’exclut pas la note mélancolique, celle par exemple du très beau morceau-titre. Ou du piano moderato de Same Old Trude, zébré d’harmonica. Musique pour les yeux peut-être. Mais pour les autres sens aussi. Tapisserie dont on se réjouira de déceler un nouveau détail à la douzième écoute. »   François Gorin - Télérama


Les villes invisibles sont un rêve qui naît au cœur des villes invivables , disait l’écrivain. Une démarche que le musicien a faite sienne dans ce troisième disque aussi magistral que flamboyant. Plages de piano, percussions et bruitages, nappes d’instruments à vent auxquels se mêle parfois la voix de Fabio Viscogliosi, font de cet album polychrome un formidable réservoir à émotions. Euphorisant.  Le Télégramme


« Pour lui, l’art de la composition – qui est à la fois écriture, exécution, choix des timbres, placement des sons – est d’abord un médium idéal pour explorer les zones sensibles, les zones de frottement indécises entre le réel et le songe, la contemplation du monde et les constructions mentales qui en découlent, le présent et la mémoire, l’empreinte des choses et leur disparition. »
Soul Kitchen


« Olivier Longre est surtout un compositeur de musiques muettes qui en disent beaucoup sur la beauté de ce monde et de ceux qui savent la déceler. » Richard Robert - L’Oreille absolue


«On assiste alors à un road movie musical d’une beauté simple et sidérante [...] Olivier Longre est un voyageur avec bagages qui ravive des souvenirs avec un profond respect et une musicalité délicate. » 
Gui Mauve -
Soul Kitchen
Olivier Longre vient rejoindre ce cercle très privé de ces peintres d’une lenteur onirique et solaire.   A decouvrir Absolument


« Chez Olivier Longre, il y a cette science du détail dans ces haïkus, comme des décharges émotionnelles. On y retrouve la mélancolie rieuse de Pascal Comelade, la méridionalité de Nino Rota, le minimalisme économe de Migala, la fragilité des B.O d’Eric Demarsan ou de Gabriel Yared. Suggestive, jamais plombée, la musique d’Olivier Longre refuse la facilité d’une mise en scène trop évidente. Toujours lunatique, toujours solaire, elle est avant tout onirique. »  Gregory Bodenes - Benzine

C’est que le terrain est occupé par les marmots, leur espièglerie magnifiée par la partition d’Olivier Longre, interprétée par un quatuor de musiciens (Les Aventures du Petit Nicolas). Télérama

« Il y a des adieux, il y a des appels et, lorsque tout se goupille bien, ceux-ci et ceux-là se confondent. Déchirures poignantes et sutures rêvées — et c'est cela le plus beau : que l'indécidable règne, pour ce qui est de l'émotion.» Alain Gerber - correspondance


« Olivier Longre et Laurence Moletta passent d’un instrument à l’autre pour saupoudrer le récit d’une bande originale bluffante à mi-chemin entre Il était une fois dans l’ouest et les mélodies d’Ibrahim Maalouf.»
Matilde Meslin
-
Télérama










  


Auteur-compositeur, réalisateur et musicien multi-instrumentiste, influencé par les musiques noires américaines, folk et contemporaines, Olivier Longre explore au fil du temps toutes sortes de textures et d’assemblages sonores, cultivant une approche singulière et visuelle de la musique.  
Il publie deux albums chez le label Neomme: Antique Melodies (2013) et Lettre à Jeanne (2016), récit musical d’une correspondance des années 1900 retrouvée un siècle plus tard.
En 2007, il réalise pour la chanteuse Amélie-Les-Crayons l’album La Porte Plume qui obtient le Grand Prix de l’Académie Charles Cros. Cette collaboration qui perdure le temps de trois albums donne lieu à près de 400 concerts.
Depuis 2016 il répond aux commandes de Radio France et met en musique  lectures, théâtre et fictions radiophoniques en collaboration avec le réalisateur Baptiste Guiton
Temps forts avec Serge Rezvani au Théâtre de la Ville (2019), Le Chat de Simenon et Les Aventures du Petit Nicolas au Studio 104 avec la Comédie Française (2020), compositions autour des textes de Daniel Danis, Lionel Ray, Rebecca Kricheldorf...
Au cours des dix dernières années, il met ses créations au service de l’image (musiques de documentaires pour Arte et France tv) et du théâtre (collaboration avec Victoria Chaplin, Bells and Spells, 2018). 
Il mène également des projets d’actions culturelles avec des publics scolaires et adultes (composition, réalisation de fictions et de parcours sonores).

En 2020, inspiré par la lecture des Villes Invisibles d’Italo Calvino, il mêle à son piano, percussions, instruments à vents, sons modulaires et compose huit titres instrumentaux qui deviendront l’album Amore Disamore.  Le premier concert a lieu le 16 décembre 2021 à l’Opera Underground /Opéra de Lyon.



Olivier Longre se consacre parallèlement à la photographie    https://olongre.cargo.site/
    


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︎ olivierlongre [a] gmail.com